Jardin Gourmand

Contemplation

La joie pour vivre poétiquement

A propos d’alimentation vivante, j’évoque l’idée de Vie nourricière et donc de relation avec celle-ci ; ce qui suppose de la nourrir à notre tour : voir Pacha Mama en Amérique du Sud : quelques miettes sur le sol et qqs gouttes de boisson. Je présentais cela comme un geste symbolique… mais l’observation permanente de nos attitudes m’a conduit à une dimension nouvelle

Au bord de la rivière, votre gourde à la main, offrez lui une goutte d’eau. Entamez le dialogue avec celle-ci. Elle est vibrante de joie car c’est la fin de la séparation, ce qui lui permet de revivre pleinement. Dans le flot de la rivière, elle va bondir sur les rochers, approcher les poissons et caresser les herbes de la berge !

Alors la notion d’insignifiant s’effondre ! Sur la berge de la rivière pousse un saule. Je lui demande ce que pense de tout cela une de ses petites feuilles ! Insignifiante, parmi des millions d’autres feuilles, elle répond qu’elle sens la vie de tous les êtres ! Comment est-ce possible ? La réponse est superbe : je suis tout simplement la Vie dans toute sa splendeur,  ce qui échappe à toutes mesure. On revient à l’idée d’un univers hologrammique, le « Tout » se décompose en de multiples parties, et chacune d’elle incarne véritablement la Présence du « Tout ».

C’est ainsi que je viens à me considérer  comme une goutte d’eau ou une petite feuille, minuscule aux yeux des humains qui comptent, qui mesurent et qui comparent pour, au final, juger ! Je suis bien la Vie dans toute sa royauté. Cela conduit à oublier de penser être une goutte d’eau ou une feuille minuscule. Amener notre ego à renoncer à être quelqu’un, donc séparé, donc « à part » ! Offrir ainsi à la Vie de nous habiter dans un espace particulier qui demande que l’on soit consentant pour l’accueillir. Notre identité ne disparaît pas pour autant, mais habité ainsi par l’énergie de la Vie, nous allons à notre tour partir en exploration et découvrir ce que ressentent la rivière, l’arbre, la montagne, les nuages et tout l’univers animé par la même énergie.

Alors les frontières s’effilochent et le cœur s’ouvre davantage

r !

Donnez à boire à la rivière Lire la suite »

Le hanami (« regarder les fleurs »), désigne la coutume traditionnelle japonaise qui consiste à apprécier la beauté des fleurs, principalement les fleurs de cerisier, qui fleurissent entre fin mars et début avril, marquant officiellement l’arrivée du printemps.

De nombreuses personnes se rassemblent alors sous les cerisiers dans les parcs et les jardins pour un pique-nique de printemps afin de regarder les fleurs tomber tout en discutant avec leurs compagnons autour de boissons et d’en-cas de saison.

Il s’agit d’un rituel ancien arrivé au Japon en provenance de Chine où il était pratiqué depuis l’antiquité. Voici à ce propos un poème emblématique du sakura (cerisier)

À peine commencent-elles à s’ouvrir
qu’elles doivent tomber.
Notre monde réside
dans la rosée au sommet des fleurs de cerisier

En effet, une fois écloses, les fleurs de cerisier sont destinées à tomber. Assister à leur chute est l’objectif même du hanami

La rosée, généralement interprétée comme un symbole de larmes, est aussi une allusion à une relation amoureuse laquelle est aussi fragile que la rosée qui s’évapore sur les fleurs de cerisier qui tombent bientôt ; elle ne dure pas longtemps, il faut donc l’apprécier tant qu’elle existe.

La rosée est aussi un symbole de la vie humaine, et la chute des fleurs de cerisiers une métaphore de la mort.

Inspiré par une étude The Conversation de Małgorzata (Gosia) K. Citko-DuPlantis

 

Si les cerisiers en fleurs sont célébrés au printemps partout dans le monde, associons-nous à ce rituel pour apprécier l’impermanence par l’observation de la nature. Et pas seulement avec les fleurs de cerisier, et pas seulement au printemps. Voilà un magnifique éclairage à donner à nos sorties nature, seul ou en groupe de personnes animées de la même quête d’émerveillement, en phase avec les rythmes de la Vie. Célébration permanente à offrir !

Message des fleurs printanières Lire la suite »

La beauté n’existe pas – Subjectivité

Chaque sujet capte en partie ce qu’il regarde et en partie ce qu’il cherche, plus ou moins consciemment : ce qui m’attire, ce que j’attends de voir, ce que je préfère, ce qui me laissera indifférent, ce que j’ai dé jà vu, ce qui m’intéresse, etc.

La beauté naît de la rencontre entre le monde et l’être humain qui le perçoit.
La beauté naît du regard de l’homme. Hubert Reeves

L’exercice consistera à affiner notre regard, notre conscience, pour débusquer la Beauté au cœur du banal, du quotidien
Si l’homme affine ses sens et son regard sur le monde qui l’entoure, il sera à même de débusquer la beauté partout. Ce que note Camille Pissaro

 » Bénis sont ceux qui voient la beauté dans d’humbles lieux là où d’autres n’y

Beauté et nature

On touche là, avec le spectacle de la nature, une expérience métaphysique conduisant à sentir la présence du mystère

Beauté et transcendance

Devant le spectacle de la beauté, on sent bien que quelque chose nous échappe. Elle est l’indice d’un monde harmonieux, sensible, intelligent, qui ne se réduit à ce qu’on en connaît. L’expérience esthétique lève le voile sur cet invisible… Elle nous apprend à aimer sans comprendre ; car si le désir de savoir élève l’homme, l’obsession de tout expliquer risque de le rabaisser – pire, de lui interdire le bonheur.

A propos de créativité et beauté

Créer vient du latin « creare » qui signifie engendrer, mettre au monde, produire. Passer de l’idée potentielle à une incarnation dans la matière. Et voici que l’homme, face à l’Univers existant, va découvrir qu’il dispose de cette fabuleuse opportunité de devenir « co-créateur pour teinter les détails de chaque jour, pour bâtir somptueusement une vie entière.

L’expérience de la Beauté

Comment qualifier cette émotion devant la beauté d’un spectacle qui engendre le vertige d’un émerveillement intense à la limite de la douleur ?

Au final, au-delà des formes, approcher l’insondable mystère de l’Être comme le disait Paul Klee

Adopter la position réceptrice du « bambou creux » prêt à transformer en musique le moindre souffle de vent.

Pratiques favorisant la perception de la beauté

 Comment faire plus de place à la beauté dans nos vies?
Il n’y a pas de méthode ni de savoir à acquérir. Il suffit d’ouvrir nos yeux et nos oreilles, de nous faire confiance.
En revanche, il y a besoin d’un éveil de la sensibilité. Plus on fréquente la beauté, plus on la voit ; plus on s’ouvre à différents types de beauté, plus on sera sensible à des choses particulières.

Comment restaurer l’état de santé-beauté ?

  • Ouvrir ses sens
    La nature s’avère être un excellent terrain d’expériences : marcher pieds nus dans la terre, se baigner dans une rivière, sentir les odeurs de la forêt, écouter le chant des oiseaux, s’allonger dans l’herbe, sentir la chaleur du soleil sur la peau, regarder les étoiles…
  • Changer son regard – Cultiver l’humour
    Pour percevoir la beauté qui sous tend toute chose, il est nécessaire de modifier peu à peu son regard, de prendre du recul, de se détendre, de dédramatiser et de cultiver une certaine dose d’humour indispensable (en commençant par soi).
  • Vivre en Poésie
    Être en mesure de voir la part de beauté qui nous entoure, ralentir ses pas, écouter, observer, prendre le temps, s’émerveiller, être disponible au moment présent et à son mystère sans volonté d’atteindre quelque chose, sans jugement, juste profiter de l’instant.
  • Respect
    Sans être Navajos, nous pouvons expérimenter que la communion avec la beauté favorise cette sensation d’intégration au macro- et au microcosme. » Pierre Lemarquis

Gratitude 

« Quand tu te lèves le matin, remercie la lumière du jour, pour ta vie et ta force. Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre.
Tecumceh, chef shawnee 

 

Diaporama autour de la beauté

A propos de Beauté Lire la suite »

Approche holistique, intégrale

Vivre pleinement suppose que toutes les dimensions de notre être soient de la fête. Notre cerveau raisonneur, certes, mais notre cœur sensible et notre corps gourmand. Vivre pleinement va solliciter nos multiples formes d’intelligence. Et en prime, de retrouver ces merveilleuses sensations de l’enfance trop souvent perdues : étonnement, admiration, émerveillement en y ajoutant la conscience que l’adulte a pu développer conduisant à la gratitude. Vivre poétiquement, donc ! Sans céder aux sirènes de la société de consommation. Voilà la seule manière de réenchanter sa vie, tonalité devenue indispensable pour vivre dans un monde chaotique.

En résumé

 

Apprendre à rêver autrement

Faire l’inventaire des rêves possibles
Laisser émerger de nouveaux rêves
Faire le tri

Un art de vivre joyeusement

Pas de recette universelle. Un panel de propositions en attendant les vôtres.
Condition préalable incontournable. Veiller à défendre sa liberté
Il y a là autant de pistes pour nourrir vos réflexions sur le sens à donner à votre vie

Vivre poétiquement

Vivre poétiquement, c’est admirer et créer du beau moralement, artistiquement, spirituellement en mêlant culture scientifique et humaniste

L’état poétique porte en lui la qualité de la vie, dont la qualité esthétique qu’il peut ressentir jusqu’à l’émerveillement devant le spectacle de la nature, un coucher de soleil, le vol d’une libellule, devant un regard, un visage, devant une œuvre d’art…
Il porte en lui l’expérience du sacré et de l’adoration dans l’amour de l’éphémère beauté. Il porte en lui la participation au mystère du monde.

Vivre poétiquement, c’est avoir la capacité de prendre son temps. De ne pas avoir peur du vide, du chaos. De ne pas avoir peur d’avouer sa faiblesse. De se dire que le bien-être matériel n’est pas synonyme du bien-être mental.

Vivre poétiquement, c’est aussi respecter la nature. Ce n’est pas être écolo, dire « Je vais éteindre la lumière et trier ». C’est avoir conscience que nous ne formons qu’un avec l’univers, et qu’en prenant soin de nous-mêmes, nous prenons soin des autres et du monde qui nous entoure, ou inversement. Gabriel Okoundji

Réenchanter sa vie

  • Face au brouhaha du monde ne pas se laisser déborder par les émotions ni devenir insensible
  • Continuer de cultiver les rêves, les pieds bien ancrés dans le sol, la tête dans les étoiles. Mettre en œuvre les moyens pour leur permettre de s’incarner, sans en devenir les esclaves, sans devenir des adorateurs
  • Ne pas attendre que le ciel s’éclaircisse mais acquérir une meilleure connaissance des énergies sauvages, des vagues et du vent, de la musique des origines et du feu alchimique, pour surfer sur les déferlantes, pour avancer grâce aux vents contraires, pour savourer la puissance incandescente de la danse de la vie.
  • Être amant, corps et âme, sans être fou d’amour. Aimer la vie comme un fou pour oser accueillir la sagesse de l’amour dans toutes les dimensions de notre incarnation. . Ne pas oublier que cet amour piaffe d’impatience, depuis les premiers matins du monde, dans l’attente de notre arrivée pour se manifester à travers nous. Un rendez-vous à préparer, à ne pas manquer ! Quelle chance ! Quelle responsabilité !

Cultiver la beauté
Vaste sujet méritant une note distincte

Vivre avec des ambitions réorientées

Deux axes de réflexion au sujet de l’ambition

  • Le manque d’ambition pour des enjeux essentiels
  • L’ambition mal orientée au service de l’hubris avec ses dérives mortifères

Aller au-delà

  • De gestes vertueux
  • Des savoir-faire
  • Des urgences du quotidien
  • Des compétences techniques
  • Des plaisirs habituels

Vivre avec des références vitales

De nouveaux plaisirs peuvent être exprimés par quelques oxymores provocateurs, porteurs de sagesse

  • L’élégance de la simplicité
  • L’abondance frugale
  • La sobriété heureuse
  • La splendeur du simple
  • Les liens qui libèrent

La malicieuse satisfaction d’échapper à la tyrannie de principes à nuancer

  • Éloge du non-agir, de l’imperfection, de l’incertitude, de l’intranquilité…
  • L’importance du peu, du rien…

Vivre en jouant pour jouer

Apprécier la griserie de pouvoir danser avec la vie, de jouer avec elle, non pour gagner, mais pour la beauté du jeu, même lorsque l’on trouve ce partenaire un peu espiègle.
Jouer, c’est aussi faire des choix sur la base de pari. Il pourra être gagnant à défaut d’obtenir le résultat attendu
Découvrir le plaisir de danser sous la pluie sans attendre les bonnes conditions
Profiter de l’instabilité et de l’impétuosité des éléments pour la griserie de surfer
Jouer avec les mots en explorant la langue des oiseaux

Vivre avec la fierté d‘un artiste

La fierté d’accomplir un travail bien fait
Au lieu de mettre sa fierté à tenter de faire de grandes choses, toujours aléatoires, agir systématiquement avec grandeur
Apprécier la fierté de naviguer, non pas contre le vent, mais grâce à ses énergies pour ajuster les voiles et avancer en sens contraire

L’élégance de vivre avec panache

Nous venons d’approcher différentes formes de « grandeur » qui peuvent véritablement enchanter votre vie. Mais il y a, non pas mieux, mais plus ! Avec le panache, vous ajoutez quelque chose à la grandeur et qui bouge au-dessus d’elle
Attitude alchimique

  • Elle permet de mettre de l’inattendu, du grandiose, et de la générosité dans nos vies. Cela passe par la réunion de quelques éléments précis, persévérance, audace, beauté du geste, liberté de ton… C’est donc une posture que seulement les plus téméraires peuvent adopter.

S’il y a déception face aux résultats visibles de nos engagements, il restera

  • La beauté du geste et de la posture
  • Agir avec bravoure, avec grandeur, avec un air d’héroïsme
  • Aussi un air de légèreté qui est gaulois et galant
  • Un goût de l’esprit qui pétille, un art de la pointe
  • Ultime combat à mener pour le baroud d’honneur

Vivre simplement sans pourquoi

Une autre perspective consiste à abandonner la question « pourquoi vivre » en acceptant de « vivre sans pourquoi ». Spontané chez l’enfant, cela demande ensuite une transformation intérieure.
S’étonner, s’émerveiller, remercier
Il n’y a pas d’autre raison de vivre Regarder, de tous ses yeux et de toute son enfance, cette vie qui passe et nous ignore. Bobin
Mettre en place une telle vision ne peut se faire que progressivement, par une succession d’instants privilégiés où l’on arrête de vivre « machinalement » en mettant la conscience nécessaire. Le procédé des « rappels » est particulièrement efficace.

Rappels

« Respire ! Autant de fois que tu y penseras, au cours de ta journée, respire à fond, et que ton souffle parte du ventre. Fais-le consciemment Je respire ! Et amoureusement, Je respire. Oh, que j’aime ça ! Chaque fois que tu fais ainsi, tu régules les battements de ton cœur, tu nourris ton cerveau, tu te regonfles en énergie. Respire comme les plantes respirent, comme les animaux respirent, comme la terre respire, comme l’univers respire et quelques minutes par jour, tu seras l’univers. » Henri Gougaud.

Un moment particulier : au réveil, en se mettant à table, les cloches qui sonnent l’heure, le contact fortuit avec un petit caillou mis dans la poche, etc.

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Atar, poète persan, a été une des sources d’inspiration de Rumi. Une de ses œuvres mystiques les plus connues est « la conférence des oiseaux ». Il y évoque, par voie allégorique, un voyage : celui d’âmes-oiseaux qui parcourent la Voie des sept vallées, étapes de l’initiation. Elle permet d’accéder au Vrai à condition de tout délaisser, mots et maux ; de se dépouiller et de s’abandonner entre les mains de la huppe-guide. Trois papillons y trouvent une place particulière désignant le parcours de tous les oiseaux. Ceux qui n’osèrent pas le voyage, ceux qui abandonnèrent le cheminement en cours de route. Le troisième papillon désigne enfin les 30 oiseaux pèlerins arrivant à destination « Sîmorgh ». Il ne semble pas que le nom de paradis soit utilisé. Si le chemin initiatique entraine une transformation de notre regard sur le monde, celui-ci pourrait être nommé « Pays des merveilles ». Ce papillon va en dansant, incarnant la folie des amoureux enivrés et pris dans les filets de l’Amour. Ils sont souvent considérés comme insensés car ils se sont détachés des codes sociaux et font fi de ce que l’on dira d’eux ; ils ne souhaitent que l’Union. Le papillon va, enivré et rappelle, entre autres, le Sheikh San’ân, qui délaissa tout prestige pour sa bien-aimée.

Je me plais à rapprocher cette histoire de la notion de l’arbre de Vie. Occasion aussi de montrer qu’à l’origine de ce concept, il y a l’existence réelle dans la nature d’arbres peuplés d’oiseaux, peut-être d’étourneaux, comme sur la photo. Et au final, l’histoire poético-mystique conduit à intérioriser les ingrédients de l’initiation en se sentant à la fois arbre et oiseau, ce que suggère à merveille le dessin.

Conférence des oiseaux-Arbre de Vie-Pays des merveilles Lire la suite »

La première force de la beauté est d’être le jaillissement soudain d’une présence d’absolu au milieu du quotidien. A partir d’éléments ordinaires elle déclenche en nous une émotion profonde, qui a le pouvoir de nous arracher quelques instants au flot de nos pensées et de nos activités.
Devant le spectacle de la beauté, on sent bien que quelque chose nous échappe. Elle est l’indice d’un monde harmonieux, sensible, intelligent, qui ne se réduit à ce qu’on en connaît. L’expérience esthétique lève le voile sur cet invisible… Et nous approche du mystère même de la vie : cette puissance d’inventivité pure. Elle nous apprend aussi à aimer sans comprendre ; car si le désir de savoir élève l’homme, l’obsession de tout expliquer risque de le rabaisser – pire, de lui interdire le bonheur.
L’émotion esthétique n’est pas un luxe de gens cultivés mais un moyen, accessible à tous, de vivre plus intensément… de pétiller de joie !
Adapté à partir de
https://www.inrees.com/articles/Charles-Pepin-La-force-mysterieuse-de-la-beaute/

                     

La force mystérieuse de la beauté Lire la suite »

Cela signifie donner du sens à tous nos gestes, pratiques, tâches multiples souvent répétitives. Un véritable leitmotiv relayé par les médias : perte de sens, mettre de la conscience dans sa vie, redonner du sens, éveiller les consciences, l’insurrection des consciences, etc. Un vrai défi. 

Mais au juste, sans tomber dans les questionnements philosophiques sans fin, en restant au plus proche de son quotidien, de quoi s’agit-il concrètement, en faisant ma vaisselle par exemple ! Et en quoi cela va-t-il transformer ma vie, celle de mon entourage et agir sur l’avenir de l’humanité ? Discrètement, au fil des thèmes abordés par l’École Buissonnière, va émerger, pour ceux qui y seront attentifs, l’illustration de cette fabuleuse opportunité que nous avons d’introduire de la conscience dans nos actions. Et les autres personnes auront de quoi être satisfaites avec les astuces de savoir-faire « vertueux », économiques, simples, bons pour la santé et l’environnement, dans le respect de leur vision des enjeux. Le soin porté dans le contenu et le style donné à l’animation des stages permettent de d’exprimer l’enthousiasme du partage sans succomber au piège du prosélytisme, seule manière de ne pas risquer de froisser certains stagiaires. L’enthousiasme, mais aussi la modestie conduisant à laisser la vie s’exprimer de la manière opportune et au moment propice qu’elle choisira pour chacun.

Agissez en conscience Lire la suite »

Étranges ferments, gluants, visqueux qui renferment ce trésor précieux : la vie endormie. Elle attend patiemment pour son réveil l’amour de la personne capable de discerner la beauté derrière ces apparences.

Pas d’aliment-miracle, leur principal atout est de vous faire prendre conscience du « faiseur de miracles » que vous êtes en coopérant avec la vie qui les anime. Perspective à la fois grisante et terriblement effrayante !

Au premier degré, la peur face à ce monde invisible des microbes. J’ai mis en place toutes les sécurités permettant de pratiquer sans risques.

Au second degré, il y a les peurs ancestrales face aux changements avec l’abandon de ce qui nous est familier et rassurant et l’espoir d’un futur désirable mais incertain. L’École Buissonnière peut vous accompagner sur ces chemins inconnus menant à votre épanouissement : « Trouver sa voie ».

Quand vous sollicitez la belle endormie et la laissez s’exprimer de manière imprévisible, elle se fait alliée efficace pour vous aider à franchir les obstacles.

Enfin certains pessimistes doutant d’un futur vivable disent qu’il faudrait un miracle pour que le cours des choses change. Oui, il faudrait un miracle : alors tous les nouveaux « faiseurs de miracles » ont désormais cette mission !

Apprivoiser la belle endormie ! Lire la suite »

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